Vision(s) des Blood Angels.

Bonjour à tous.

Suite à un récent échange sur un sujet lié aux Ultramarines, et afin d'éviter d'être hors sujet également, quand viendra le moment, j'aimerais savoir quelle est votre vision de la légion Blood Angels.

Je sais qu'il me faudra attendre le bouquin HH pour vraiment être fixé mais d'ors et déjà cela pourrait me servir.

En effet et par exemple, j'ai toujours été fan d'une illustration de Blood Angels en réacteurs dorsaux avec double pistolet bolter (Des Destroyer quoi) et au final on s'aperçoit que les BA feraient bien partis des légions à ne surtout pas utiliser ces types d'armes...

Bref, j'aimerais bien votre avis surtout si ça peut me faire éviter des absurdités (et achats inutiles)...

Aub.

Je vois les Blood Angels comme une légion qui n'a pas une vision tactique extrême comme peut avoir les World Eaters ou bien les Iron Warriors. Pour moi les BA c'est une base de légion lambda avec des tendances :

1 le corps à corps

Cette tendance est freinée, du moins contrôlée par Sanguinius qui veut une grande souplesse tactique.

Sur la table de jeu ça doit passer forcément par un peu de troupes de corps à corps mais associé aussi à du tactique/support/deva, s'orienter à fond corps à corps serait selon moi une erreur.

2 la rapidité

Je pense que c'est la tendance la plus prononcée, les troupes à pieds sont à bannir, tout le monde doit être véhiculé : stormeagle/rhino/land raider...

Concernant les véhicules, je ne vois pas de soucis à voir du predator/land raider/sicaran/spartan etc... après les véhicules spécialisées, de siège notamment c'est moins dans l'esprit de la légion.

Etant donné le coté noble et idéaliste des BA, mettre du Moritat/Destroyer c'est niet pour ma part.

En QG, je privilégierait du capitaine/preator de base ou bien orienté corps à corps comme un champion. du chapelain ça passe bien aussi, les BA avaient des gardiens et haut gardiens fesant respecter à la lettre le traité de Nikeae.

Concernant les apothicaires là je ne sais pas trop, j'ai bien l’impression qu'ils étaient bien moins importants pendant la grande croisade que post-hérésie où le culte de Sanguinius se met en place et où les apothicaires se transforment peu à peu en prêtre.